Détails sur le La Mystique de la Laicite - Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de La Mystique de la Laicite pour votre référence : La Mystique de la Laicite a été écrit par Youssef Hindi qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. La Mystique de la Laicite a été l'un des livres de populer Cette année. Il contient 128 pages et disponible sur format E-Book, Hardcover. Ce livre a été très surpris en raison de sa note 3 et a obtenu environ 210 avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre La Mystique de la Laicite que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie. Voici l'identifiant du livre que vous pouvez utiliser pour rechercher ce livre sur le marché ou un autre vendeur de livres, isbn: 2917329998, ean: 9782917329993 ou asin: 2917329998.
La Mystique de la Laicite par Youssef Hindi ont été vendues pour EUR 15,00 chaque exemplaire. Le livre publié par Sigest. Il contient 128 pages et classé dans le genre Thèmes. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3 des lecteurs 210. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
Le Titre Du Livre : La Mystique de la Laicite
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Description du livre La Mystique de la Laicite : Le premier livre à traiter sous cet angle de thème - 0 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.Le premier livre à traiter sous cet angle de thème
Par Clément d’Amurim
Voilà un petit ouvrage qui tombe à point en un temps oà¹, peu ou prou, l’idéologie politique, à travers ses ténors, expose au bon peuple que « la laà¯cité est une valeur républicaine ».Je n’ai personnellement toujours pas compris ce que pouvaient être ces fameuses « valeurs républicaines » si spécifiques qu’aucun de ceux qui s’en font les porte-drapeaux ne sont capables de les définir clairement...La seule chose qui est sà»re, c’est qu’ils espèrent tous, c’est la nouvelle mode politico-médiatique, faire amalgamer ce concept de laà¯cité à la trinité maçonnique devenue républicaine et serinée à loisir: « Liberté, Egalité, Fraternité » et maintenant donc Laà¯cité.C’est dans ce contexte que l’auteur de « La mystique de la laà¯cité » nous entraîne vers les sources historiques et philosophiques de ce concept et de son implication souvent éludée dans la Révolution française...Un document précieux, parce qu’à ce jour c’est le premier livre à traiter sous cet angle de ce thème, fer de lance de l’idéologie dite laà¯ciste, dont le propagandiste contemporain le plus connu est Vincent Peillon, chantre maçonnique et bien entendu ex-ministre de l’éducation dite nationale...Ce petit ouvrage, bien que très dense, reste très abordable et est très documenté : il demande une lecture attentive et fait appel à des connaissances historiques et philosophiques qui sont déjà développées par l’auteur dans son premier ouvrage « Occident et Islam » sous-titré : « Sources et genèse messianiques du sionisme – de l’Europe médiévale au Choc des civilisations » que je conseillerais à chacun de se procurer.L’auteur y met en évidence, entre autres, les racines d’une véritable « mystique du sionisme » en apparente contradiction avec la toge laà¯que et athéiste dans laquelle il se drape...Et curieusement, (mais est-ce un hasard ?) on retrouvera ici les mêmes moteurs : « les mêmes causes produisant les mêmes effets » comme le dit l’adage.Ils vont se traduire dans les perspectives sociologiques évolutives, étonnement comparables, qui émergent au fil de l’Histoire et notamment avec la Révolution.C’est donc à un voyage philosophique que nous invite l’auteur.Un voyage qui débute avec les premières intrusions de la kabbale juive dans la mystique chrétienne au cœur même du catholicisme romain : la première trace de la mise en place d’une idéologie destructrice d’un monde européen fondé quinze siècles durant sur « L’alliance du Trà´ne et de l’Autel » génératrice de la civilisation occidentale.Comme l’a souligné le cardinal Daniélou dans « L’oraison, problème politique »:« Il n’y a pas de civilisation qui ne soit religieuse.Inversement, une religion de masse n’est possible que soutenue par la civilisation. »Une alliance à bénéfice réciproque donc, dont la France sera l’initiatrice en reconnaissant par le baptême de Clovis (et de sa tribu) le christianisme romain alors encore en rivalité avec un arianisme toujours omniprésent et encore largement dominateur dans le monde occidental à la fin du Veme siècle.D’oùla fameuse appellation de « France fille aînée de l’Eglise » qui sera mutée par la Révolution en « Fille haineuse de l’Eglise », ce que l’auteur aurait aussi pu évoquer.On pourra regretter que l’auteur ne développe pas plus les interactions qui expliquent pourquoi toute révolution politique en Europe – de Cromwell à Lénine en passant évidemment par la révolution française – se caractérisera partout d’abord par l’opposition à la religion chrétienne catholique (ou orthodoxe) et par l’appel à la destruction des structures et de l’idéologie qui en découle, garantes des empires...Mais évidemment, en si peu de pages, tout ne peut pas être relaté : cet ouvrage s’attache à l’histoire des idées et non pas au développement politico-historique qu’elle induit.C’est pourquoi l’auteur se cantonne à la genèse de cet antichristianisme ou plutà´t ici anticatholicisme, consubstantiel à la construction et à l’émergence de la République dans la France de cette fin du XVIIIeme siècle. Un anticatholicisme qui deviendra quasiment institutionnel, et servira de modèle à la destruction politique de l’Europe au tournant du siècle suivant: 1880 / 1920.On découvrira ainsi comment on peut suivre depuis la kabbale espagnole au Moyen Age, toute la série des jalons traduisant à la fois son évolution politique et son entrisme dans le monde chrétien. Et s’y surimposera le messianisme juif incarné par Sabbata௠Tsevi repris par Jacob Frank...L’auteur nous révèle comment ce messianisme frankiste va jouer un rà´le essentiel dans la Révolution française à travers l’influence du petit cousin de Jacob Frank: Moà¯se Dobruchka.Un personnage trop peu connu aujourd’hui, converti au catholicisme, intrigant proche de la cour de Joseph II oùil prit le nom de Franz Thomas von Schà¶nfeld, et y fonda une nouvelle obédience maçonnique, avant de rallier la France en révolution en 1792 – avec son frère Emmanuel et sa sœur Léopoldine – sous le nom de Junius Frey (une altération orthographique de l’allemand fre௠« libre » - le ton est donné !) oùil jouera un rà´le déterminant dans la mouvance jacobine auprès du député Chabot, ex capucin défroqué, qui épousera Léopoldine...Et tout ce beau monde menant grand train, compromis dans le scandale financier de la Compagnie des Indes, convaincu de prévarication et de blanchiment d’argent, finira guillotiné avec Danton en avril 1794...C’est ce personnage, maçon hétérodoxe, qui, en comprenant la nécessité, sera à l’origine d’une recherche mystique révolutionnaire dont l’absence allait conduire à l’échec des tentatives pseudo religieuses d’instauration d’un culte de la Raison (Hébertistes) ou de celui de l’Etre Suprême (Montagnards)...Une recherche qui se poursuivra tout au long du XIXeme siècle, notamment avec l’avènement de la République (IIIeme République), oùavec le concours essentiel de la maçonnerie, apparaissent des courants de pensée laà¯ciste de plus en plus construits et de plus en plus prégnants à travers de grandes figures comme Louis Claude de Saint Martin, Papus, ou Ferdinand Buisson...C’est de ces « grands ancêtres » dont se réclame aujourd’hui, sans doute avec moins de talent, Vincent Peillon...Quant à la finalité de l’instauration d’une telle mystique, elle est claire : assurer la pérennité d’un régime auquel elle fait cruellement défaut.Mais évidemment toute mystique s’appuie sur un aspect transcendantal qui voue fatalement à terme toute tentative purement rationaliste, sinon dogmatiquement rationnalisée, à un échec certain.C’est évidemment la conclusion de l’auteur.Nous laisserons le dernier mot au cardinal Daniélou :Or, il nous semble qu’aujourd’hui, trop de chrétiens acceptent la juxtaposition d’une religion personnelle et d’une société laà¯que. Une telle conception est ruineuse tant pour la société que pour la religion."(Jean cardinal Daniélou : L’Oraison, problème politique.)C’est bien ce à quoi nous assistons partout oùles aspirations populaires conduisent à un regain religieux face à une laà¯cité étatique, qui s’agite beaucoup mais démontre surtout l’angoisse de ses tenants face à l’échec idéologique de fait qu’elle traduit, et qui transparaît dans des régimes s’affichant laà¯cs, chrétiens comme musulmans d’ailleurs, qui semblent politiquement à bout de souffle La Mystique de la Laicite a été écrit par Youssef Hindi qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. La Mystique de la Laicite a été l'un des livres de populer sur 2016. Il contient 128 pages et disponible sur format . Ce livre a été très surpris en raison de sa note rating et a obtenu environ avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre La Mystique de la Laicite que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie.
Par Clément d’Amurim
Voilà un petit ouvrage qui tombe à point en un temps oà¹, peu ou prou, l’idéologie politique, à travers ses ténors, expose au bon peuple que « la laà¯cité est une valeur républicaine ».Je n’ai personnellement toujours pas compris ce que pouvaient être ces fameuses « valeurs républicaines » si spécifiques qu’aucun de ceux qui s’en font les porte-drapeaux ne sont capables de les définir clairement...La seule chose qui est sà»re, c’est qu’ils espèrent tous, c’est la nouvelle mode politico-médiatique, faire amalgamer ce concept de laà¯cité à la trinité maçonnique devenue républicaine et serinée à loisir: « Liberté, Egalité, Fraternité » et maintenant donc Laà¯cité.C’est dans ce contexte que l’auteur de « La mystique de la laà¯cité » nous entraîne vers les sources historiques et philosophiques de ce concept et de son implication souvent éludée dans la Révolution française...Un document précieux, parce qu’à ce jour c’est le premier livre à traiter sous cet angle de ce thème, fer de lance de l’idéologie dite laà¯ciste, dont le propagandiste contemporain le plus connu est Vincent Peillon, chantre maçonnique et bien entendu ex-ministre de l’éducation dite nationale...Ce petit ouvrage, bien que très dense, reste très abordable et est très documenté : il demande une lecture attentive et fait appel à des connaissances historiques et philosophiques qui sont déjà développées par l’auteur dans son premier ouvrage « Occident et Islam » sous-titré : « Sources et genèse messianiques du sionisme – de l’Europe médiévale au Choc des civilisations » que je conseillerais à chacun de se procurer.L’auteur y met en évidence, entre autres, les racines d’une véritable « mystique du sionisme » en apparente contradiction avec la toge laà¯que et athéiste dans laquelle il se drape...Et curieusement, (mais est-ce un hasard ?) on retrouvera ici les mêmes moteurs : « les mêmes causes produisant les mêmes effets » comme le dit l’adage.Ils vont se traduire dans les perspectives sociologiques évolutives, étonnement comparables, qui émergent au fil de l’Histoire et notamment avec la Révolution.C’est donc à un voyage philosophique que nous invite l’auteur.Un voyage qui débute avec les premières intrusions de la kabbale juive dans la mystique chrétienne au cœur même du catholicisme romain : la première trace de la mise en place d’une idéologie destructrice d’un monde européen fondé quinze siècles durant sur « L’alliance du Trà´ne et de l’Autel » génératrice de la civilisation occidentale.Comme l’a souligné le cardinal Daniélou dans « L’oraison, problème politique »:« Il n’y a pas de civilisation qui ne soit religieuse.Inversement, une religion de masse n’est possible que soutenue par la civilisation. »Une alliance à bénéfice réciproque donc, dont la France sera l’initiatrice en reconnaissant par le baptême de Clovis (et de sa tribu) le christianisme romain alors encore en rivalité avec un arianisme toujours omniprésent et encore largement dominateur dans le monde occidental à la fin du Veme siècle.D’oùla fameuse appellation de « France fille aînée de l’Eglise » qui sera mutée par la Révolution en « Fille haineuse de l’Eglise », ce que l’auteur aurait aussi pu évoquer.On pourra regretter que l’auteur ne développe pas plus les interactions qui expliquent pourquoi toute révolution politique en Europe – de Cromwell à Lénine en passant évidemment par la révolution française – se caractérisera partout d’abord par l’opposition à la religion chrétienne catholique (ou orthodoxe) et par l’appel à la destruction des structures et de l’idéologie qui en découle, garantes des empires...Mais évidemment, en si peu de pages, tout ne peut pas être relaté : cet ouvrage s’attache à l’histoire des idées et non pas au développement politico-historique qu’elle induit.C’est pourquoi l’auteur se cantonne à la genèse de cet antichristianisme ou plutà´t ici anticatholicisme, consubstantiel à la construction et à l’émergence de la République dans la France de cette fin du XVIIIeme siècle. Un anticatholicisme qui deviendra quasiment institutionnel, et servira de modèle à la destruction politique de l’Europe au tournant du siècle suivant: 1880 / 1920.On découvrira ainsi comment on peut suivre depuis la kabbale espagnole au Moyen Age, toute la série des jalons traduisant à la fois son évolution politique et son entrisme dans le monde chrétien. Et s’y surimposera le messianisme juif incarné par Sabbata௠Tsevi repris par Jacob Frank...L’auteur nous révèle comment ce messianisme frankiste va jouer un rà´le essentiel dans la Révolution française à travers l’influence du petit cousin de Jacob Frank: Moà¯se Dobruchka.Un personnage trop peu connu aujourd’hui, converti au catholicisme, intrigant proche de la cour de Joseph II oùil prit le nom de Franz Thomas von Schà¶nfeld, et y fonda une nouvelle obédience maçonnique, avant de rallier la France en révolution en 1792 – avec son frère Emmanuel et sa sœur Léopoldine – sous le nom de Junius Frey (une altération orthographique de l’allemand fre௠« libre » - le ton est donné !) oùil jouera un rà´le déterminant dans la mouvance jacobine auprès du député Chabot, ex capucin défroqué, qui épousera Léopoldine...Et tout ce beau monde menant grand train, compromis dans le scandale financier de la Compagnie des Indes, convaincu de prévarication et de blanchiment d’argent, finira guillotiné avec Danton en avril 1794...C’est ce personnage, maçon hétérodoxe, qui, en comprenant la nécessité, sera à l’origine d’une recherche mystique révolutionnaire dont l’absence allait conduire à l’échec des tentatives pseudo religieuses d’instauration d’un culte de la Raison (Hébertistes) ou de celui de l’Etre Suprême (Montagnards)...Une recherche qui se poursuivra tout au long du XIXeme siècle, notamment avec l’avènement de la République (IIIeme République), oùavec le concours essentiel de la maçonnerie, apparaissent des courants de pensée laà¯ciste de plus en plus construits et de plus en plus prégnants à travers de grandes figures comme Louis Claude de Saint Martin, Papus, ou Ferdinand Buisson...C’est de ces « grands ancêtres » dont se réclame aujourd’hui, sans doute avec moins de talent, Vincent Peillon...Quant à la finalité de l’instauration d’une telle mystique, elle est claire : assurer la pérennité d’un régime auquel elle fait cruellement défaut.Mais évidemment toute mystique s’appuie sur un aspect transcendantal qui voue fatalement à terme toute tentative purement rationaliste, sinon dogmatiquement rationnalisée, à un échec certain.C’est évidemment la conclusion de l’auteur.Nous laisserons le dernier mot au cardinal Daniélou :Or, il nous semble qu’aujourd’hui, trop de chrétiens acceptent la juxtaposition d’une religion personnelle et d’une société laà¯que. Une telle conception est ruineuse tant pour la société que pour la religion."(Jean cardinal Daniélou : L’Oraison, problème politique.)C’est bien ce à quoi nous assistons partout oùles aspirations populaires conduisent à un regain religieux face à une laà¯cité étatique, qui s’agite beaucoup mais démontre surtout l’angoisse de ses tenants face à l’échec idéologique de fait qu’elle traduit, et qui transparaît dans des régimes s’affichant laà¯cs, chrétiens comme musulmans d’ailleurs, qui semblent politiquement à bout de souffle La Mystique de la Laicite a été écrit par Youssef Hindi qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. La Mystique de la Laicite a été l'un des livres de populer sur 2016. Il contient 128 pages et disponible sur format . Ce livre a été très surpris en raison de sa note rating et a obtenu environ avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre La Mystique de la Laicite que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie.
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